Agence de presse AhlulBayt (ABNA) : « Le Département redistribue périodiquement les forces en fonction des besoins opérationnels et des circonstances d'urgence », a souligné un porte-parole du Pentagone jeudi.
En réfutant les rapports sur une réduction des forces américaines en Syrie, le responsable américain a précisé que ces changements reflètent la flexibilité de la politique de défense mondiale des États-Unis et la capacité de Washington à se déployer rapidement à travers le monde.
Jeudi, le journal américain *The New York Times*, citant un responsable américain, a rapporté que les États-Unis retireront environ 600 soldats de Syrie, ne laissant que moins de 1 000 soldats pour travailler avec leurs alliés kurdes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech.
Selon la source, le pays nord-américain réduira ses forces en Syrie de 2 000 militaires à 1 400.
Mardi, CBS News a rapporté que les États-Unis prévoyaient de réduire leur présence militaire en Syrie en retirant certains de leurs 2 000 soldats, tout en concentrant les forces restantes dans un nombre réduit de bases dans le pays.
En décembre 2024, un convoi militaire, comprenant 50 camions avec des véhicules blindés, du matériel militaire et logistique, s'est dirigé vers l'une des bases américaines dans le nord-est de la Syrie, traversant le point de passage frontalier irakien d'Al Walid.
L'armée américaine maintient une présence prolongée dans le nord-est de la Syrie, arguant que son déploiement vise à empêcher que les gisements pétroliers ne tombent entre les mains des terroristes de Daech. Cependant, des experts affirment que le véritable objectif de cette présence serait le pillage des ressources naturelles syriennes.
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